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lundi 25 juin 2007

Au passage d'un ange

Un ange est passé cette nuit
Doucement il a déposé
Sur mon âme toute égratignée
Un doux et divin baiser

Esquissant son plus beau sourire
Et poussant un tendre soupir
De ses ailes m'a entourée
Sa voix suave m'a chanté

Une mélodie inconnue
Mais que pourtant j'ai entendue
C'est celle que tu murmurais
Quand dans tes bras tu me berçais

D.Jerba (Dorine Parisot)

samedi 9 juin 2007

Je te connais depuis plusieurs années,

Et pourtant je ne sais toujours pas qui tu es.

Quand je vois ton regard sur moi,

Je perds tout mon sang froid…



Quelques sentiments que je ressens,

Au plus profond de mon être frémissant…

Ils sont tous dirigés vers toi

Et ils ne suivent aucune loi.



Ces pensées je ne peux pas les combattre,

Sans éviter dans mon cœur un désastre.

Je ne sais pas si tu partages mes sentiments.

Mais je sais que j’ai un mauvais pressentiment !



Aujourd’hui je te laisserai choisir,

Ce qu’avec moi tu veux vivre…

Je pourrais être une amante passionnée,

Ou bien encore une amie attentionnée…



A toi de choisir, ami ou amant

Pour moi le choix est évident

Elodie...

enfants du monde....

Petits et grands

Enfants et adolescents

Tous si différents

Dans le monde

Ils forment un arc en ciel

D’espoir, de paix et de joie

Ils ont tous des yeux rêveurs

Qu’ils soient bridés, allongés ou ronds

Ces enfants ne demandent que du bonheur

De la tendresse et un guide

Et pourtant il y a encore tant d’inégalités

Enfant esclave, enfant qui meurt de faim

Pauvreté, maladie

Nous devons continuer à agir

Pour que cela disparaisse

Que tous aient la même chance

Tous sont frères dans les couleurs de la vie

Ils nous offrent

La joie de vivre

Ils nous l’apportent

Comme un cadeau

Sans rien nous demander

Que de l’amour.

Elodie...

mardi 5 juin 2007

Que le charme demeure


Abordons sur notre île jadis imaginée
Refaisons le chemin tous deux, main dans la main
Saluons les oiseaux qui nous avaient bercés
De leurs chants les plus doux et jamais égalés

Asseyons-nous encore sous ce grand palmier
Ecoutons la chanson de ce jeune berger
Qui de sa voix suave au timbre pénétrant
Pour sa belle Princesse entonnait ce beau chant

Ignorons Aphrodite qui de ses yeux perçants
Du haut de son Olympe jalousement nous guette
Déesse diabolique, magnifique beauté
Elle ne pourra jamais notre amour nous voler.

Refaisons le chemin tous deux une dernière fois
Retrouvons ce bonheur qui trop vite m’a quittée
Ne brisons pas le charme de ces folles journées
Passées à nous chercher, passées à nous aimer.
Dorine Parisot(D.Jerba)

La vieille actrice.


Elle avait une pudeur que certaines n’ont pas
Ce charme désuet des beautés d’autrefois
Elle récitait son texte sur le bout des doigts
De ses admirateurs elle était la déesse
Tandis que chaque soir elle faisait mille prouesses
Un jour comme tous les autres elle décida
De jeter le masque et saluer bien bas
Son public surpris qui n’en revenait pas,
Après une ovation, ne lui pardonna pas.
A présent elle vit sous un pont de Paris
Il y a bien longtemps qu’elle n’a pas souri
Sa silhouette frêle et son corps si menu
Ont cessé de séduire et ne la portent plus.
Dorine Pariso(D.Jerba)

lundi 4 juin 2007

Le moment opportun

Il est un instant
Toujours tant attendu
Pour nous si important
Et quelquefois défendu.
Ce moment inscrit au futur
Dans notre esprit impatient
Comme un fruit trop mûr
On le désire au présent.
Quel que soit son objet,
Il obsède nos désirs,
Monopolise notre pensé
Jusqu’à ne plus vouloir en sortir.
C’est instant gravé dans notre souvenir
Ce réveille alors qu’on le croyait oublié
Faisant ainsi réapparaître à notre désir
Notre espérance forgée dans le passé.
Ce moment que l’on espérait tant
Est-ce le temps passé qui l’a transformé
Pour lui donner bien souvent
Le goût des choses inachevées ?
Opportun il nous semblait alors
Lorsque à chaque minute il nous parlait.
Il devait pour nous être de l’or
Il nous semble désormais si imparfait.
Raison et passion s’affrontent
Au sein de notre esprit.
Passion d’un espoir qui nous porte
Raison de l’ordre établi
Tous deux ne font qu’un
Jusqu’au prochain moment opportun.

Joël R.

La rue des jardins


J’ai eu la chance d’y habiter hier.
Une rue remplie de calme,
Bordée de jardins jusqu’à la rivière.
Les oiseaux y viennent sans crainte des armes.
Sur le chemin de l’école,
Seules les branches tentaient de barrer ma route.
Un coin de campagne en centre ville.
Les voitures dorment dans les garages,
Les enfants y jouent sous un ciel sans nuage
Car ils ont leur espace, abri tranquille
Parmi les fleurs, les fruits et les légumes
Des potagers de mon enfance.
Même les chiens ne connaissent pas la laisse.
Le bruit des faux mécaniques sonne de concert
Aux premiers rayons de soleil elles apparaissent.
Seule l’herbe ne peut y grandir en près vert.
Bien sûr la vie m’a fait connaître d’autres rues,
d’autres quartiers,
Mais il me tarde souvent les jours ou je reviens
Dans cette ville où se trouve ma rue des jardins.
Chaque maison me rappelle chacun des pas
Que je faisais à l’heure du retour de la classe,
Les soirs de goûter au goût de chocolat.
Cet espace de verdure, théâtre de rêves qui
passent,
Des récitations et des leçons par cahiers entiers.
Le ciel étoilé en pensant à celle, désirée,
Qui existait déjà quelque part, en face.
Je savais qu’elle me ferait quitter
Ce lieu si cher à mon enfance.
Il est le témoin de mon parcours
Et j’aime à m’y retrouver seul.
Rien n’a changé, peut être ce qu’il y a autour.
J’ose espérer que la vie pourtant
Me permettra de retourner encore souvent
Dans cet espace qui me parle comme à un enfant
son aïeul.
Aujourd’hui motorisé, c’est pourtant à pied
Que j’aime revenir de la ville
Pour mieux m’imprégner de ce chez moi.
De cette rue qui pour moi est plus qu’une simple
voie.
Egoïste, je la voudrai sans issue, immobile,
Comme ignorée d’un plan de circulation oublié.
Les hommes l’ont aménagée de goudron.
Les arbres sont rentrés dans le rang.
Mais même toutes ces bêtises en béton
N’ont empêché la nature de conserver son sang
Et toutes les richesses de cette artère,
Puisqu’ils sont seuls maintenant, de balcon à
parterre,
A pouvoir vivre dans les jardins de ma rue.
Joël R.

Clic'n'go!

Un clavier, un écran,
Une connexion, le Net,
Voilà le Monde est grand
Tout est vif sur l'Internet.
Mon âme de chat
Joue avec la souris
Qui me dirige pas à pas
Vers cette fenêtre comme soumis
D'un clic je le vois
Cet univers si vert
Qui semble pourtant si froid
Dans cet espace nommée cyber
Je te croyais pourtant là, Clic'n'go
Je te voyais si proche par là, Clic'n'go,
Je ne t'y vois pourtant pas, Clic'n'go
Je n'arrive pas jusqu'à toi, Clic'n'go.
Dois-je regarder sans cesse
Ces images attirantes, mobiles,
Rien ne me touche ni me blesse
Et pourtant je ne suis pas tranquille
Les traces de ma recherche
Restent à jamais indélébiles
Marquent ma volonté et m'empêche
D'aboutir à mon objectif, mon mobile
Pour aller où, Clic'n'go
Vers quoi, Clic'n'go
Pour nous, Clic'n'go
Vers toi, Clic'n'go.
Je me connecte, où es-tu ?
Au-delas du spectre, m'entends-tu ?
Sur mon micro, c'est Clic'n'go
Clic'n'go de te voir
Clic'n'go pour savoir.
Clic'n'go me promet mon micro
Une ouverture vers le monde
Fénêtre si proche, porte si lointaine
Aveugle de mes mots que je parcours
Que part bribes sur ce clavier si froid
J'y fais courir mes doigts
Clic'n'go

Joël R

A quoi bon...

Un souffle de toi me fait rêver,
Un mot de ta bouche me fait espérer,
Un geste de tes bras me fait avancer,
Alors pourquoi ne puis-je rester ?

On me parle de confiance,
Alors que je doute en souffrance.
On me demande des efforts.
Je me sens si proche de ma mort.

Quel sentiment puis je avoir ?
De la vie qu'aurai-je à recevoir ?
Si rien ne me pousse à donner,
Personne à ma porte ne viendra frapper.

A quoi bon continuer à tricher ?
Politiquement correct je resterai,
Sans ambition sur le vrai,
Et voie sans issue engagée.

Pourtant l'espoir revient quelque fois,
Dans mon esprit, mon corps, mon coeur.
Souvenir d'un sentiment éprouvé autrefois,
Croyant soudain connaître l'amour par coeur.

Pourquoi ne pas vouloir réciter la leçon,
Que j'aime à apprendre dans tes lignes.
Faut-il toujours demander une rançon
Alors qu'il me suffit de toi que d'un signe ?

Je souhaite partager les meilleurs de mon histoire.
Donner à celle qui un jour m'accompagnera,
L'accès aux contours de ma tour d'ivoire,
Et la clé de l'ultime salle, elle trouvera.

Alors peut être que je n'aurai plus peur
De lui montrer mes secrets conjugués.
Elle me permettra vers les autres et ailleurs,
D'aller sans craintes et avec sûreté.

Ce jour dois-je y croire, ou à quoi bon ?
Interrogations de l'aujourd'hui pénible.
Un avenir que je vois moribond.
Avec la petite mort de ma vie pour cible.

Un rien est capable de mélanger les comportements
De ma vie et de celle aimée de mon être.
Aller vers ses désirs et ses rêves doucement,
Voilà ce qui me reste peut-être.

La laisser me guider dans mes propres
appartements.
Faire ce voyage sans aucun déplacement.
Harmonie simple de confiance réciproque,
Que rien n'y personne troublera notre époque.

A quoi bon rester constant dans l'amour de l'autre,
Alors que la richesse partagée d'un jour sans toi,
Me paraît si pauvre que j'attends cet apôtre,
Qui me fait croire en ta présence sous notre toit.

Puis-je espérer un jour ne plus prononcer
Ces mots lourds qui m'interdisent de vivre,
Parasitant mes pensées nocturnes, noires foncées,
Jusqu'aux lendemains, toujours, et me poursuivre…

Me séparer de ton image, à quoi bon ?
Puisqu'elle me plait toujours autant,
Et n'est rien comparée dans le fond,
A ton amour que je sais si constant.

Même les temps difficiles d'un jour,
Ne pourront effacer de ma mémoire,
Les années qui n'ont été que des secondes,
toujours,
Passées auprès de toi sans parole, en rangeant
mon armoire.

Comment alors donner à nos sentiments, pourtant
si forts,
Un lit douillet placé sous la voûte de nos secrets ?
Comment savoir si nous avons raison ou tort,
Si nous saurons maintenir notre histoire sacrée ?

J'ai aujourd'hui, plus qu'hier besoin de savoir,
Connaître les épreuves et les joies attendues,
Nos amours assez grandes pour deux, mais
défendues,
Pourront-elles survivrent à mes moments de
désespoir.

Je fais pourtant confiance à nos sentiments,
Mais je doute encore de mes capacités.
La détresse que j'éprouve parfois fortement,
Ne risque-t-elle pas de donner à l'usure droit de
citer ?

Joël R

vendredi 1 juin 2007

Couleurs.



Des points verts
Tachés de rose
Un bleu-ciel méditerranéen
Où un voilier, au loin,
Survolé d’un chant d’oiseau
Avançait…avançait… !
*** ***
Un orage , soudain
Surgit
Sabota le chemin
Que le voilier suivit
Comme un saint …
Du vert , disparaît le bleu
Le jaune est là…
Grisonnant sous les cieux
Et qui souillait tout le chemin.
Et fit chavirer le voilier
Dans un tourbillon effrayant
Le gris devint brun
Et puis noir… noir… noir.
Que cherches-tu à voir ?
Ah ! la lune ? là voilà
La tache blanche
Qui surgit du néant
Vas-y ! accroche-toi à sa lueur…
Et, sur son fond argenté
Ajoute toute autre couleur
Retrouverais-tu peut-être le printemps
Garni de ses fleurettes.
Khalil...

jeudi 31 mai 2007

Un instant d'éternité



Elle était arrivée la veille. Le soleil resplendissait. l'atmosphère était encore chaude. C'était l'été au coeur de l'automne. L'été indien, comme dans la chanson de Joe Dassin. Une journée magique, hors du temps.
Elle se promenait dans les jardins de l'hôtel et répondait au bonjour des employés qui entretenaient les massifs de lauriers roses et blancs, et ratissaient les allées. elle se risquait même à échanger quelques mots dans leur langue. Le bonheur lui donnait cette hardiesse, qu'elle n'avait pas en temps habituel.
Oui elle était heureuse, car dans quelques heures, elle allait le rencontrer.
La veille au soir, elle avait reçu un message, "Demain sera notre jour, je t'aime." Ce petit texte, combien de fois l'avait-elle lu et relu? Elle n'avait presque pas fermé l'oeil de la nuit.
Dans quelques heures, il serait là. Depuis son départ de chez lui, il l'informait régulièrement de sa progression. A présent, il était sur la route du littoral. Elle l'imaginait au volant de sa voiture, fumant négligeamment une cigarette.
Comme elle avait peu de temps devant elle, elle retourna dans sa chambre pour se préparer. Elle se devait d'être belle, pour ne pas le décevoir.Elle se prit à rire en se regardant dans la glace. Elle se sentait comme une jeune fille à son premier rendez-vous d'amour. Elle ne négligea aucun détail.

Elle avait fait sa connaissance un mois auparavant, et tout était allé si vite, comme dans un rêve ! Ils s'étaient échangé des lettres et des serments d'amour. Et maintenant, elle était là, dans cet hôtel du bout du monde à attendre son amoureux. Elle avait pris la décision de le rejoindre, quelques semaines auparavant, au mépris de toutes les conventions et de tous les dangers. Elle avait fixé elle-même le lieu du rendez-vous, un endroit qui ressemblait à cette île qu'ils s'étaient fabriquée dans leurs rêves.
Radieuse, elle se rendit dans le hall de l'hôtel. Il n'allait pas tarder, à présent. Un bref message venait de l'informer qu'il n'était qu'à quelques kilomètres.
Elle eut à peine le temps de s'installer dans un des fauteuils de la réception, que son téléphone vibra. C'était lui. Au moment où elle décrochait, elle aperçut sa silhouette. Elle le reconnut au premier regard. Elle sortit à sa rencontre. Il arborait un sourire radieux. Comme il semblait heureux ! Il l'embrassa et lui dit : "Je t'avais reconnue" . Elle aussi l'avait reconnu, l'homme , l'amant dont elle avait tant rêvé.
Elle l'entraîna vers le couloir qui menait à la chambre. Vite, il ne fallait pas être remarqué. Sa pudeur, lui conférait une certaine gêne, voire une certaine honte, qui furent bien vite dissipées.
Que ce couloir était interminable ! Il lui prit la main, et la serra très fort. Elle tressaillit. La chambre portait le numéro 65. Elle s'en souvient encore. Fièvreusement, elle sortit sa clé. Sa main tremblait au point qu'elle parvint difficilement à l'introduire dans la serrure. Enfin !
Une fois la porte refermée, il la prit dans ses bras et la serra très fort, comme s'il ne voulait plus la lâcher, comme s'il voulait la garder pour lui tout seul, comme s'il la retrouvait après l'avoir vainement cherchée pendant des années. Leurs désirs étaient identiques, à cet instant. Un seul souhait, que ce moment restât figé pour l'éternité. Quant à elle, elle ne pensait plus à rien. pour la première fois depuis très logtemps, elle était comblée. Elle éprouvait cette sensation étrange de l'avoir toujours connu. Elle s'abandonna dans ses bras.

D.Jerba

Le val sans retour




C'est dans ce beau val sans retour,
Que jadis Morgane la fée
Retenait tous les chevaliers
Qui leur dame privaient d'amour

Un seul pourtant s'en est allé
C'est Lancelot le bien nommé
Qui le roi Arthur vénérait
Et la reine Guenièvre aimait

Son champion elle fit de lui
Pour elle son honneur il perdit
Et au Saint Graal il renonçoit
Afin de vivre l'amour courtois.

D.Jerba

mercredi 30 mai 2007

Sonate à quatre mains.






Si je pouvais inventer un mot, pour désigner mon amour pour toi, je le choisirais dans la langue que tu connais bien, celle des belles images, des métaphores, des hyperboles. Il serait tout d’abord un doux zéphyr, qui viendrait chatouiller ton oreille. Il serait une partition avec des silences et des soupirs, où les accords des violons accompagneraient mes larmes, larmes de joie, larmes de tristesse, de détresse parfois. Cette douce sonate, au fil des jours, se transformerait en une symphonie grandiose, superbe. Nos doigts glisseraient sur les blanches et les noires du piano, ils se rencontreraient, se toucheraient, s’entremêleraient pour former de doux accords. Cette symphonie, nous allons la créer, jour après jour, à quatre mains, elle sera inachevée car toujours réinventée. Elle sera la plus belle. Je te laisse le soin de lui trouver un nom.



D. Jerba

mardi 29 mai 2007

La « hors la loi »




Depuis toujours je t’attends
Depuis ma naissance
Depuis longtemps !
De toi j’ai rêvé…
Prince charmant,
De tes yeux, de ton regard attendrissant !
Depuis mes premières années !
Toute ma vie
Je t’ai appelé
N’ayant reçu de réponse
J’ai cédé !
Alors je t’ai crée
En moi !
J’ai fait de toi
Ma loi,
Ma raison, ma foi !
Sur la tienne
J’ai réglé ma vie
Ton air complice… je l’adore
Quand tes yeux me dévorent
Je suis comblée
De tes murmures parés d’or !
Je ne sais très bien m’exprimer…
Serait-ce l’amour…la volupté ?
Mais dès qu’il s’agit de toi
Je deviens folle
Et hors la loi !

Princesse

lundi 28 mai 2007

Excuse...





Excuse moi, mon petit, tu meurs de faim, alors que j’en ai plein de nourriture dans mes trois frigidaires !
Excuse moi, mon enfant, tu as le ventre vide, alors que je l’ai plein, trop plein même !
Pardon, mes chers petits, vous faites la queue, pour avoir une bouffée, rien qu’une bouffée, pour calmer votre faim, alors que tout déborde chez moi !
Excuse moi, mon enfant si tu mets ton sac à dos et tu erres partout, pour chercher un abri, alors que j’en ai plein de maisons !
Excuse moi, mon enfant si tu te retournes et tu vois le vautour qui te guette attendant ta mort ! Oui, il a de l’expérience ce monstre de vautour, il sait que tu vas mourir de faim !il est là, derrière toi, à attendre, et il sera gagnant, tu mourras de faim,mon petit ! Oh ! Pardon !
Pardon, madame, si on a tué ton fils devant tes yeux ! Pardon, si on les a tué, tous, au nom de la « paix » !
Pardon si on t’a fait briser le cœur, madame, alors qu’ils se plaisent à les faire souffrir !
Excusez- moi, mes plaines si vastes, si vertes, si on vous a fait brûler !
Excuse moi, mon arbre si haut, si beau, si vert, si on t’a fait noircir ! !
Excusez moi, mes grattes ciels si orgueilleux, si on vous a anéantis !
Pardon, ma Terre, si merveilleuse, si généreuse, si on t’a mis du feu partout !
Pardon, mon monde si Divin, si Grand, si on t’a corrompu !
Pardon, pardon, excusez moi…….si je suis passive !
Je baisse les bras ! Je pleure ! Je suis malheureuse !
Princesse

Poème sans prétention, sans rime ni raison





Dans tes bras, je redeviens l'enfant que je n'ai pas été
La fillette à qui jadis on vola l'innocence
Dans tes bras j'oublie toutes mes souffrances
Je pose doucement ma tête au creux de ton épaule
Et comme j'ai horreur des silences
Je te murmure: "Raconte-moi une histoire!"
Alors, de ta voix douce et rassurante, tu commences
"C'est l'histoire d'une princesse..."
C'est notre belle romance que tu me chantes.

D.Jerba

Tendre est la nuit





Tendre est la nuit
Doux est le secret qui nous lie.
Il a suffi de peu de choses
Pour que sur moi tes mains se posent,
Il a suffi de presque rien,
Pour oublier notre chagrin.
Tendre est la nuit,
Doux est le secret qui nous lie,
Amour toujours recommencé,
amour toujours réinventé,
Entonne avec moi la chanson,
De notre belle passion.
D.Jerba

Hakeem....


Tu es mon soleil,
Qui éclaire mes jours de pluie.
Tu es mon soleil,
Tu es l'homme de ma vie.
Tu es mon soleil,
Tu illumines mes jours, mes nuits.
Tu m'émerveilles.
Tu nourris mes envies.
Je donnerai ma vie pour te rejoindre.

Tu es mon soleil,
La lumière qui me guide.
Tu es mon sommeil,
Tu dessines mes rêves.
Tu es mon arc en ciel,
Qui vient colorer ma vie.
Tu es mon soleil,
Mon meilleur ami.
Je voudrai plus qu'une amitié.
Je voudrai être à tes côtés.
Et poursuivre ce rêve en réalité.

Elodie...

Nuit de solitude...





La lune s'est levée.
J'avance, les yeux fermés.
La nuit de solitude commence.
Une lumière mène la danse.
Cette musique retentit.
Moi, je reste là, dans le noir de la vie.
Une nuit de solitude éteint cette lueur.
Celle qui éclairait mon coeur
Ma solitude est identique à celle d'un loup.
Je suis un coeur rempli de coups.
Pourquoi cette nuit de solitude
est-elle si rude ?
Elodie...

dimanche 27 mai 2007

Pour toi, mon amour!



Pour toi mon amour, je veux tout réinventer,
Le roman de ma vie, notre amour passionné
Les paroles prononcées et les baisers volés
Les rencontres furtives et les nuits tourmentées,

Pour toi mon amour, je veux tout recommencer
Le voyage amoureux sur notre île lointaine
Les nuits de veille, de souffrance et d'attentes vaines
Les minutes les heures et les longues journées,

Pour toi mon tendre amour, je veux tout oublier,
Tes paroles blessantes, tes mots durs, tes adieux
Pour toi mon tendre amour, je veux tout effacer
Pour enfin te donner la prunelle de mes yeux.


D_Jerba

Destins



Nous avons fait tous deux une partie du chemin
Fatigués mais heureux nous nous sommes assis
Sur un tapis de mousse dans ce vert paradis
Et nous avons parlé sans penser à demain
Un arbre généreux nous a offert ses fruits
Nous y avons goûté sans retenue aucune
Puis sans faire de bruit, surveillés par la lune
Dans un profond sommeil nous nous sommes endormis.
Mais c'était sans compter sur notre destinée
Qui depuis quelque temps patiemment attendait
De nous faire connaître son funeste desseinLa perfide
Cassandre était sur le cheminSans précaution aucune elle nous a réveillés
Le temps était venu de quitter nos chimères
Le temps était venu de reprendre la mer
Pour savourer enfin notre paix retrouvée


D_Jerba

Instant....



Des paroles de douceur,
Des moments de bonheur.

Des regards échangés,
Un zeste de complicité.

Des étoiles dans les yeux,
La joie d'être deux.

Main dans la main,
Suivre le même chemin.

Des rêves pleins le coeur,
Que du plaisir,
Aucune rancoeur.

Aimer et oublier
Les blessures du passé.

Juste la magie de l'amour,
Une belle vie pour toujours.


Elodie.....

L'amour c'est....



L'amour, c'est rire
C'est sourire
C'est grandir
C'est s'embellir
c'est mûrir
C'est rajeunir
Et surtout
C'est vivre....
Les plus doux moments de la vie.
Elodie...

Derrière son....




Derrière son maquillage elle cache sa douleur
Derrière son maquillage elle cache ses pleurs
Derrière son maquillage elle cache qu'elle est en train de souffrir
Derrière son maquillage elle cache sont envie d'en finir
Derrière son maquillage elle cache qu'elle veut oublier
Derrière son maquillage elle cache ses larmes elle dit que son crayon a coulé.
Mais qui pourra lui enlever ce masque pour enfin la faire revivre et pour ne plus cacher ce qu'elle est derrière son maquillage ?

Elodie.....

Imagine, si



Imagine si, le monde était mien !
Imagine si,
Je me libère de mes liens
Je volerais haut dans le ciel
Légère comme les hirondelles
Je me sacrifierais,
Sans regrets,
Pour te voir heureuse,
Comme une couronne majestueuse !
Ma terre autrefois belle
Je me donnerais pour toi
Je me ferai des ailes
Imagine si
J’étais fée
Imagine si
J’avais des pouvoirs sacrés
Je t’offrirai ma baguette
Pour te voir sereine et émerveillée
Je me ferai bonheur,
Je me ferai santé,
Je me ferai joie,
Je me ferai générosité !
Pour tes brebis égarées,
Je me ferai PAIX !
Pour toi, terre des humains !
Princesse

L'amour.




L'amour est comme une fleur
Au milieu d'un immense jardin
Quelque fois il suffit de rien
Pour qu'elle ouvre son coeur

Un peu de soleil pour la réchauffer
Comme l'amour vient nous frôler
Et elle ouvre ses grandes pétales
Pour l'accueillir, quel régal

Un peu de pluie pour la rafraîchir
Comme l'amour vient nous rajeunir
Cela la rend toujours plus belle
Heureuse de devenir "celle"

Trop de soleil et tout fini ici
Comme l'amour quand il se retire
Les pétales brûlent et perdent la vie
Malheureuse de ce triste avenir

Trop de pluie et elle se noie
Comme l'amour a ses larmes
Qui se versent quand tu n'es pas là
Et se meurt de ses propres armes

Sans soleil et sans pluie
Celle ci n'a pas de vie
C'est ainsi que je veux ma vie
Pour ne pas mourir d'envie.

Elodie...

J'ai besoin de toi.




J'ai besoin de toi comme la terre a besoin du soleil
Comme elle, j'ai envie de ta chaleur
J'ai besoin de toi comme les fleurs ont besoin de lumière
Comme elles, j'ai envie de ta présence pour éclairer mon coeur
J'ai besoin de toi comme la nuit a besoin de ses étoiles
Comme elle, je suis éteinte par ton absence
J'ai besoin de toi comme le bateau a besoin de ses voiles
comme lui, je lutte contre le vent pour ne pas me
noyer dans les vagues de la souffrance
J'ai besoin de toi comme le sommeil a besoin de ses rêves
besoin de toi comme l'arbre, pour vivre, a besoin de sa sève
Besoin tout simplement
Parce que je t'aime.

Elodie...

Désillusion...




Si la route qui mène à l’amour
Te semble étroite et longue
Il y a un raccourci
Dans mon cœur

Si les désillusions ont tout noirci
Il y a encore une petite lumière
Au fond de mes yeux

Si la tristesse te pourchasse
Si la solitude te kidnappe
Sans demander de rançon
Je viendrai te libérer
Et tu trouveras refuge
Dans mes bras

Si tes nuits sont longues et pales
Je viendrai y déposer
Toutes les fleurs du monde
Et toute la chaleur du soleil.

Elodie...

samedi 26 mai 2007

Pour toi





Pour toi j'écrirai le plus beau des poèmes,
Et je le dédierai à tous les gens qui s'aiment
Je fleurirai la chambre avec des immortelles
Tresserai un diadème avec des asphodèles
J'en sèmerai partout dans notre beau jardin
Je referai le monde, pour tous les crève la faim
Je décrocherai la lune, pour t'en faire présent
Et je viendrai à toi, le coeur tout haletant
Les genoux écorchés et les pieds tout meurtris
Les yeux remplis de larmes, pour t'avouer ma flamme
Pour t'offrir à jamais mon petit coeur de femme.

D.Jerba (Dorine Parisot)

Que viens-tu m’annoncer?




Que viens-tu m’annoncer,
Mon bel oiseau doré
Qui au lever du jour
Me viens chanter l’amour ?
Du haut de ton platane,
Bien fier tu te pavanes
Aimes à me torturer
T’amuses à m’énerver
A rire tu te plais
Ta gorge fait des trilles
Lorsque passent les filles
Et tu as oublié
Ce que tu voulais dire
A ta belle fiancée.
Ne vois-tu pas qu’elle pleure ?
Loin de la regarder,
De marbre tu demeures.
Déjà ton cœur est loin,
Tes pensées sont ailleurs,
Et ses cris restent vains.
D.J ( Dorine Parisot )

Mon enfant




Tu es de moi
Et tu es en moi
Mon sang coule en toi
Tu es mon enfant
Et mon petit roi charmant
Et moi, ton royaume servant

Tu es mon petit monde si cher
Où je vis mes beaux rêves de mère
Je bâtis pour toi des châteaux
Je dessine pour toi des chemins
Je t’offre de tout ce qui est beau
Je t’offre tout mon amour sans rien
Pour voir ton beau sourire qui se dessine
Sur ton joli visage qui me fascine

Et je te surveille grandir
Et mes rêves grandissent avec toi
Pour te voir grand, grand mon petit roi
Tu es mon enfant chéri
Tu es mon amour bénit
Et je suis bien ravie
D'être ta p'tite maman.
Khalil

Je t’attends


Je t’attends là
An bord de ce lac
Viens et prends moi
Prends moi dans tes bras
Prends moi en entier
Prends moi en vrac
Prends moi comme tu veux
Et montons le sentier
De l’amour en parfum
Main dans la main
Caressant de nos yeux
L’horizon lointain.

Je caresse de mes yeux
Ton sourire charmant
Et je peins de mes lèvres
Ton soleil ardent
Qui brille de tes dents
Et éclaire
Mon chemin vers
Ton cœur si tendre
Débordant d’amour
Et de tendresse
Depuis toujours
Sans cesse.

Viens, je t’attends
A l’ombre
De cet arbre
Où nos sentiments
Se perchent
Sur ses branches
Si grandes, si vertes
Et chantent
Pour l’amour, pour la joie
Notre bonheur
Jaillissant
Du fond de nos cœurs
Khalil
Comme du soleil

Comme du soleil, tu éclaires mes journées
Tu réchauffes mon cœur et mes pensées
Et tu me traces un nouveau chemin
Vers une nouvelle destinée,
Toi ma petite princesse qui m’as tant donné !
Je t’aime et jamais je ne cesse de t’aimer !!

Te souviens-tu de nos premières rencontres ?
Te rappelles-tu de nos premiers mots échangés ?
Nous avons parlé d’amitié, de boulot et d’autre
Mais pas d’amour, alors comment y sommes-nous arrivés ?

Nous voilà tous deux ensemble
Sur la terrasse d’un vieux café
Nos mains qui se tiennent et tremblent
Nos lèvres qui s’échangent des baisers assoiffés
Ou nous marchons sur le trottoir, ivres et joyeux
Nos pas gravent sur le pavé de toutes les routes
La plus belle histoire de tous les amoureux
Et que les étoiles admirent et nous sourient toutes
Khalil

vendredi 25 mai 2007

Irremplaçable...

Si la note disait :ce n'est pas une note qui fait une musique,
... il n'y aurait pas de symphonie.

Si le mot disait :ce n'est pas un mot qui peut faire une page,
... il n'y aurait pas de livre.

Si la pierre disait :ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur,
... il n'y aurait pas de maison.

Si la goutte d'eau disait :ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière,
... il n'y aurait pas d'océan.

Si le grain de blé disait :ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ,
... il n'y aurait pas de moisson.

Si l'homme disait :ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité,
... il n'y aurait jamais de justice et de paix,de dignité et de bonheur sur la terre des hommes.


Comme la symphonie a besoin de chaque note,
Comme le livre a besoin de chaque mot,
Comme la maison a besoin de chaque pierre,
Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,
l'humanité tout entière a besoin de toi,
là où tu es,unique, et donc ...irremplaçable.

Elodie....

Si tu étais...

Si tu étais une fleur, je serais tes pétales.
Si tu étais un soleil, je serais tes rayons.
Si tu étais un oiseau, je serais ton plumage.
Si tu étais un arbre, je serais tes étoiles.
Si tu étais un ange, je serais tes ailes.
Tu es un homme, je suis ta femme.

Elodie....

recommence....


Si tu es las et que la route te paraît longue,
si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin,
ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps,
...recommence.

Si ta vie te semble trop absurde,
si tu es déçu par trop de choses et de gens,
ne cherche pas à comprendre pourquoi,
...recommence.

Si tu as essayé d'aimer et d'être utile,
si tu as connu ta pauvreté et tes limites,
ne laisse pas là une tâche à moitié faite,
...recommence.

Si les autres te regardent avec reproche,
s'ils sont déçus par toi,
irrités, ne te révolte pas, ne leur demande rien,
...recommence.

Si l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver,
le rameau fleurit sans demander pourquoi,
l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne,
car la vie est espoir et recommencement.

Elodie...

Bienvenue

Nous avons le plaisir de vous informer de la création de cette nouvelle espace pour les jeunes écrivains et poètes!
Laisser nous vos textes et nous les publirons avec évidement votre nom. Et avec des photo si vous le désiré.
Bienvenue à vous tous!